dimanche 15 novembre 2009

Restauration scolaire (suite)

Une réunion a eu lieu au mois d'octobre entre la mairie et les associatons de parents d'élèves :
La mairie nous a confirmé qu'il y avait un gros litige avec le nouveau prestataire.
Celui-ci a été choisi, suite à l'appel d'offres, car il répondait le mieux au cahier des charges.Or, selon la mairie, depuis le début du marché, le cahier des charges ne serait pas respecté.
La mairie nous a informé qu'elle souhaite rompre ce marché par un accord amiable.Il faut que les deux parties signent ce protocole pour qu'un nouvel appel d'offres soit lancé afin de trouver un nouveau prestataire.
Entre le moment où l'appel d'offres est lancé, et le moment où on démarre avec le nouveau prestataire, il faut compter un délai de 5 mois minimum, voire plus. (Parce qu'il y a des délais légaux à respecter entre les différentes étapes du processus).Pendant ces 5 - 6 mois, la mairie continuera donc avec le prestataire actuel.

Nous sommes dans l'attente d'un compte rendu officiel de cette réunion que la mairie s'est engagée à faire parvenir aux associations de parents d'élèves.

jeudi 8 octobre 2009

Restauration scolaire

Les enfants se plaignent, à juste titre, semble-ti-il, de la qualité et de la quantité des repas servis le midi à la cantine.

Suite à une réunion, lundi 5 octobre, entre les élus municipaux et les associations de parents d’élèves (FCPE, PEEP, UNAPPE), voilà les dernières informations dont nous disposons :
Depuis la rentrée de septembre, un nouveau prestataire fournit la cuisine centrale et ne respecte pas le cahier des charges..

La résiliation du contrat (très complexe) est en cours, nous assure la mairie, mais elle va malheureusement durer plusieurs mois.

Nous souhaitons, pour notre part, une résolution beaucoup plus rapide de la situation, afin que les repas de nos enfants s’améliorent au plus tôt.

Nous resteront vigilants jusqu’à la mise en place d’une solution adéquate et nous vous tiendrons informés de nos prochaines actions.

mardi 1 septembre 2009

C'est la rentrée

Bonjour à tous,

Nous espérons que vous avez tous passé de bonnes vacances.

La rentrée des classes aura lieu le jeudi 3 septembre 2009 à 8H30 à l'école du Parc et à l'école Jean Macé.

A l'école Jean Macé, la rentrée pour les enfants de petite section aura lieu le vendredi 4 septembre à 8H30.

Bonne rentrée à tous, petits et grands.

jeudi 25 juin 2009

Inscriptions aux centres de loisirs

Suite au courrier de la Mairie adressé aux Familles, les Fédérations de Parents d'élèves (FCPE UNAPE PEEP) de Fontenay viennent d'écrire à Mme Duplan, maire adjointe chargée de l'Enfance.

En effet, il semblerait que les nouvelles modalités d'inscription posent quelques problèmes pour les familles, et les Fédérations souhaitent attirer l'attention sur un certain nombre de cas, comme :
Les parents qui travaillent en intérim,
Les parents dont les horaires sont modifiables par leur employeur dans un délai inférieur à une semaine
Les aléas que peuvent rencontrer les familles mono parentales,
Les demandeurs d’emploi, les nouveaux fontenaisiens, …

C'est pourquoi nous demandons la mise en place de mesures dérogatoires pour ces cas très particuliers.

mercredi 10 juin 2009

De la grande section de maternelle vers le CP

La FCPE vous invite à une rencontre entre parents pour échanger sur le thème :

"DE LA GRANDE SECTION DE MATERNELLE VERS LE CP"

Mardi 16 juin 2009 20H
Salle des Parents de l'école du Parc
( juste après la réunion organisée par l'école élémentaire.)

Vous pourrez rencontrer d'autres parents, à qui poser vos questions concernant l’entrée au CP de votre enfant:
Y a t il une collation à 10h pour les élèves?
Quelle liste de fournitures pour la rentrée?
Quel type de cartable choisir ?
Comment se déroule l'heure d'études le soir?
Combien de temps consacré aux devoirs ?

Nous vous attendons nombreux !

mardi 12 mai 2009

Rythmes de l'enfant et rythmes scolaires

Aménagement du temps scolaire dans les écoles
Semaine de 4 jours ou 4 jours et demi ?

La suppression du samedi matin et la mise en place de l’aide personnalisée (2h de
soutien) a entrainé une intensification des activités scolaires sur 4 jours de la semaine.
Les effets négatifs de cette organisation ont entrainé le lancement d’une réflexion
au niveau du département des Hauts de Seine sur un réaménagement
de cette semaine scolaire : retour à une semaine de 4jours et demi ? Classe le mercredi matin ?

Les impacts sont nombreux : organisation des activités extrascolaires, centre de loisirs,
vie familiale, coût .... mais il parait essentiel de ne pas oublier avant toute autre
considération, l’intérêt et le besoin des enfants !
Dans le cadre de ce débat, la FCPE vous invite à une réunion publique :

CONFERENCE – DEBAT
Rythmes de l’enfant et rythmes scolaires
avec la participation P. BRIDE
Secrétaire Général du Cercle de recherche et d’action pédagogiques (CRAP)
Mercredi 13 mai à 20h30
Centre A. Malraux à Antony
Avenue Léon Harmel

jeudi 2 avril 2009

Le fichier "base élèves" devant le Conseil de l'ONU

Les opposants à Base élèves 1er degré, du nom du fichier informatisé et centralisé qui stocke les informations recueillies lors de l'inscription de chaque enfant dès l'école maternelle, ne désarment pas. Leur dernière "victoire" : la France sommée d'expliquer par écrit avant le 6 avril aux Nations unies, dans le cadre de la session du Comité des droits de l'enfant, "à quelle mission de service public servira le stockage au niveau national de données nominatives et indiquer les raisons pour lesquelles le droit d'opposition prévu par la loi ne s'applique pas à ce dispositif. Veuillez également informer le Comité (des droits de l'enfant de l'ONU) des conséquences éventuelles que pourrait entraîner le refus des parents de fournir les informations requises sur leurs enfants".

Réunis dans un Collectif national de résistance à Base élèves (CNRBE), des parents d'élèves et des enseignants, relayés par la Ligue des droits de l'homme, contestent ce fichier depuis les premières expérimentations lancées en 2004. Ils ont d'ailleurs réussi à le dépouiller des attributs dont il était doté au départ. Mais continuent de se battre pour obtenir sa suppression. Les uns au tribunal - où les premières plaintes contre X... invoquant le non-respect de la loi Informatique et libertés ont été déposées mercredi 25 mars comme à Grenoble et à Millau - les autres dans les écoles autour des "désobéisseurs" qui, en refusant de renseigner la Base, font l'objet de sanctions et de retraits sur salaire. Un recours en annulation a également été déposé au
Conseil d'Etat le 22 décembre 2008.

Quand, après des années de fiches cartonnées, le mammouth décide de basculer dans le tout-numérique, il ne se doutait pas que l'affaire soulèverait une telle indignation. Les collèges et les lycées sont dotés depuis 1995 d'un logiciel (Sconet) qui centralise des renseignements familiaux et scolaires sans que cela ait suscité la moindre vaguelette. L'école se révèle plus frondeuse.
Le logiciel en question se révèle tout sauf anodin : pour la première fois, les écoles se voient tenues de remplir une base de données indiquant les nom, prénom, adresse de leurs élèves, mais aussi leur nationalité, l'année de leur arrivée en France, le suivi médical ou psychologique dont ils font l'objet, leur handicap éventuel.

Prenant acte de la fronde, le ministère plie mais ne cède pas, publiant un arrêté "portant création de Base élèves", en date du 20 octobre 2008, épuré des champs de la nationalité, du handicap, de l'absentéisme, etc. Le ministre,
Xavier Darcos lui-même, avait estimé, en juin, que ce fichier était "profondément liberticide".

Revu et corrigé, Base élèves, qui contient une cinquantaine de renseignements, dote chaque enfant d'un identifiant national élève qui rejoint la Base nationale. Le tout est consultable en partie par la mairie, en totalité par l'inspection académique. Les parents ne peuvent s'y opposer. La plupart des enseignants cèdent sous la pression, quelques-uns résistent contre ce qu'ils jugent être une opération de fichage.

Pour l'éducation nationale, qui a beaucoup souffert de la grève administrative menée pendant des années par les directeurs d'école, il ne s'agit que d'un outil de bonne gestion. Base élèves a déjà permis de rectifier de "plusieurs milliers" l'effectif des enfants inscrits à l'école. Ramené à 6 millions, c'est peu, mais "un élève de plus ou de moins peut impliquer une fermeture ou une ouverture de classe", défend le ministère.

Pour ses détracteurs, ce fichier pourrait bien constituer aussi le socle du futur "casier" que risque de traîner derrière lui chaque enfant durant sa scolarité. "L'outil Base élèves est évolutif. La meilleure preuve, c'est qu'il a déjà fait l'objet d'une modification déclarée à la CNIL : elle consiste à pouvoir attribuer le nom d'un enseignant à chaque classe", argumente
Christian Drevet, directeur d'une petite école de trois classes à Eydoche, dans l'Isère. Sachant que l'éducation nationale travaille à la mise en place d'"un livret scolaire électronique" qui contiendrait le résultat des évaluations individuelles et qu'un fichier national sur le retard scolaire est également en préparation, qu'est-ce qui interdira de connecter tous ces fichiers à travers l'identifiant de l'élève ?

Source de cet article : Le Monde - 27/03/09

dimanche 25 janvier 2009

Manifestation jeudi 29 janvier 2009

Aujourd’hui comme hier, les parents d’élèves FCPE restent mobilisés
C’est l’avenir de nos enfants qui se joue… et c’est l’affaire de tous !

Après la belle participation de la FCPE à la manifestation du Samedi 17 janvier

La FCPE sera de nouveau présente lors de
la manifestation du Jeudi 29 janvier
Départ 14 h de la Place de la Bastille
(le ralliement se fera sous le ballon bleu FCPE)

La FCPE appelle les parents d’élèves à participer aux manifestations du 29 janvier dans toute la France pour défendre le service public d’éducation, aux côtés des lycéens et des étudiants. Elle s’associe à la revendication commune de politiques publiques ambitieuses, volontaristes, génératrices d’emplois, de valeurs et porteuses d’espoirs.

Parce que la formation est le meilleur rempart contre la précarité et le chômage, les parents exprimeront le 29 janvier leur exigence de la priorité à l'éducation dans notre pays.

Les politiques publiques doivent intégrer tous les moyens nécessaires au bon fonctionnement du service public d’éducation pour assurer l’éducation, la formation et l’intégration des jeunes dans la société d’aujourd’hui et de demain. La FCPE rappelle son refus des suppressions de postes programmées pour la rentrée 2009 et son opposition à la carte scolaire telle qu’elle commence à se dessiner dans les départements.

Cette manifestation sera l'expression de tous ceux qui, dans le champ associatif, éducatif et familial, c’est-à-dire dans leur vie quotidienne, sont atteints par une même volonté politique de destruction des services publics et par une volonté forcenée de faire des économies au détriment de tous et de chacun.

mercredi 21 janvier 2009

Janvier 2009 - Etat des lieux

Cette année, beaucoup de changements sont intervenus à l’école, des changements qui n’apportent pas toujours une amélioration du cadre de vie scolaire de nos enfants.
La semaine de 4 jours a été mise en place, les enfants n’ont plus classe le samedi matin. Beaucoup de parents souhaitaient pouvoir bénéficier de ce week-end complet avec leurs enfants. Mais concrètement, les élèves ont désormais 24 heures d’enseignement par semaine au lieu de 26 heures auparavant. Les programmes scolaires n’ont pas été allégés, et les semaines peuvent être longues pour nos enfants.
Parallèlement à la mise en place de cette semaine de 4 jours, le ministère de l’Education Nationale a décidé dès cette rentrée scolaire, de réaffecter une partie des heures supprimées le samedi matin à la mise en place de 60 heures annuelles «d’aide aux élèves rencontrant des difficultés scolaires». (Voir l’article sur ce sujet).
Ces heures d’ «aide personnalisée» sont dispensées par un enseignant généraliste en dehors du temps scolaire des élèves et ne peut se substituer au RASED (réseau d’aide aux élèves en difficultés) qui est constitué de trois catégories de professionnels titulaires de diplômes spécifiques : les Maîtres G, chargées de l'aide à dominante rééducative (par exemple pour les enfants qui ont des problèmes de rapport à l’école, de comportement, etc.), les Maîtres E chargés de l’aide à dominante pédagogique (aide à l’apprentissage), et les psychologues scolaires.
Or, le risque existe que la mise en place de cette aide serve de prétexte au ministère pour supprimer les RASED. Au mois de juin dernier, la « maître G » qui était présente sur notre groupe scolaire est partie à la retraite, et le ministère de l’Education Nationale a décidé de ne pas la remplacer. Désormais, le RASED n’est plus constitué que de 2 intervenants : une psychologue scolaire et une maître E. Le projet de budget 2009 pour l’Education nationale prévoit la suppression de 20% des postes d’enseignants spécialisés. Ceci entame sérieusement les capacités d’intervention des réseaux d’aide (RASED).
Cette année, est également mis en place le « SMA », service minimum d’accueil (loi du 20 août 2008 – circulaire d’application du 4 septembre 2008) qui doit être organisé par les communes les jours de grève des enseignants. Concrètement, la municipalité doit mettre en place un service d’accueil des enfants lorsque le nombre d’enseignants grévistes est égal ou supérieur à 25%. Mais cette loi reste très floue lorsqu’il s’agit de définir à quelles personnes nos enfants vont être confiés : aucun taux d’encadrement minimum n’est fixé par la loi, aucun diplôme n’est requis non plus, il est seulement précisé que les personnels municipaux travaillant auprès d’enfants seront sollicités les premiers. Serons-nous vraiment rassurés, nous parents, de laisser nos enfants dans ces conditions ?
Evoquons également une baisse des subventions allouées par l’état aux municipalités pour les activités scolaires et extra scolaires : A Fontenay-aux-Roses, sur le temps scolaire, seuls le sport et le projet « musiques à l’école » seront maintenus ; sur le temps péri-scolaire (pendant la pause de midi), les activités du CEL (contrat éducatif local) continueront à exister, mais toutes les activités ne pourront être maintenues, certaines vont être supprimées.
Face à toutes ces mesures qui touchent l’école de nos enfants, nous pensons qu’il était temps de faire un bilan, de dénoncer cette mise à mal de notre système éducatif. Parents d’élèves élus pour vous représenter, nous continuerons à vous informer. Face à des réformes qui n’ont aucune ambition et un goût bien amer de réductions budgétaires, nous userons de notre devoir de vigilance, d’information, nous continuerons à porter les revendications d’amélioration des conditions de travail et de vie des élèves, pour que l’éducation de nos enfants reste une priorité.

L'aide personnalisée

Contexte : Alors que la réforme alourdit les programmes scolaires, la suppression du samedi matin se traduit par une diminution du temps scolaire obligatoire de 26 à 24 heures/semaine (soit 72 heures/année). Pour palier aux inégalités et/ou aux difficultés de certains élèves, on nous propose l’aide personnalisée.

Qu’est ce que c’est ? :
Cette aide représente 60 heures maximum par élève et par an.
Chaque établissement (via son conseil des maîtres) doit organiser le programme de ces aides personnalisées, à savoir : horaire, durée du cycle de l’aide et enfants concernés. Les parents, des enfants proposés, sont personnellement informés et doivent donner leur accord écrit.

Comment ça se passe au Parc et à Jean Macé ?
A l’école du Parc, elle est mise en place depuis le 17 Novembre. Elle concerne 56 élèves, qui participent à cette aide par petits groupes de 3 à 6 maximums, avec leur enseignant, 4 fois par semaine de 11h30 à 12h00. Ces aides sont proposées sous forme de cycles de 4 à 6 semaines.
L’équipe enseignante a rappelé au Conseil d’école que cette aide ne pouvait en aucun cas se substituer au travail effectué par les RASED

A Jean Macé, 33 élèves sont concernés. Les enseignants ont fait le choix de prendre tous les enfants montrant le moindre signe de « fragilisation » en moyenne et en grande section. Cette aide se déroule entre 11h30 et 12h00, sur 2 périodes couvrant l’année, sous forme de différents ateliers réunissant chacun de 2 à 8 enfants.

Et ailleurs ? :
Dans certaines villes, les enseignants ont gelé ces heures pour montrer leur désaccord avec la suppression des RASED
Si de nombreuse communes l'ont répartie en quatre séances de trente minutes par semaine, dispensées soit le matin avant la classe, soit pendant la pause méridienne, soit encore après l’école, d’autres établissements ont opté pour une formule de deux fois une heure et d’autres encore l'organisent à raison de trois séances de quarante minutes. Enfin, certaines écoles ont choisi l’option des deux heures consécutives, souvent le mercredi.

Rappel de la position de la FCPE :
La FCPE dénonce la relégation de l’aide aux élèves en difficulté, hors du temps scolaire. Elle rappelle que c’est du renforcement du Réseau d’Aide aux Élèves en Difficulté (RASED) dont l’Ecole a besoin pour permettre l’acquisition des savoirs et compétences à tous les enfants, notamment les plus fragiles.